gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, Deepl,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Les écclésiatiques dans des tenues différentes
Les vicaires, les curés et les étudiants se distinguent par leur habit différent. Ils ont également une tenue pour les occasions ordinaires, lorsque les loisirs ou le devoir les appellent à des excursions équestres.
Il y a un évêque à Madère qui, bien sûr, exerce les fonctions épiscopales dans toute l'île et maintient le pouvoir ecclésiastique sur le clergé, dont la proportion est importante.
Certaines des paroisses produisent de très bons bénéfices, dont les ministres ont de très bonnes maisons, et maintiennent une hospitalité appropriée, car ils reçoivent tous les voyageurs, et aussi des dévots, qui pour des motifs de piété visitent leurs églises respectives.
Il y a aussi de nombreuses chapelles qui appartiennent à des particuliers qui n'épargnent aucune dépense dans leurs décorations.
Chaque église a sa propre fête ou une fête occasionnelle, de sorte qu'il n'y a guère de jour où une fête n'est pas célébrée dans une partie ou l'autre de l'île, avec procession religieuse, fête et musique sacrée, à laquelle assistent certains des franciscains, qui sont généralement de bons exécutants de chorale.
Les hospitalités ne manquent pas non plus pour attirer les visiteurs lors de ces cérémonies. Le saint patron de chaque église est ainsi honoré.
Quand on voit la dévotion ériger
Ses autels à la louange du Créateur ;
Quelles que soient les formes sous lesquelles sont rendus
Ses hommages au Ciel protecteur ;
Qui que ce soit qui soit chargé de préparer
Les lèvres pour y demander l'admission ;
Si la charité sacrée préside ;
Si l'espoir pieux guide l'office ;
Et que le chemin infaillible est suivi,
Qui mène à ce qui est juste et bon ;
Si l'on appelle le vagabond qui s'éloigne
Des voies sûres et meilleures de la vertu ;
Quels que soient son caractère et son nom,
Si tel doit être le but de la dévotion,
Il serait vain de se battre pour divers modes.
Cette doctrine doit être juste.
Il importe peu de porter une cape ou un capuchon,
Si les mots du prédicateur sont bons ;
Si ce n'est que son zèle est chaleureux pour promouvoir
Les notions du vrai bonheur ;
Si, par son exemple, il enseigne
Les saines leçons qu'il prêche,
La raison l'approuve, et rien ne l'empêche,
Et ne se soucie pas de la coupe de son tissu.
Si, dans leurs fonctions, les prêtres sont capables,
Il importe peu de savoir quelle sorte de zibeline
Leur église mère les condamne à porter.
Ils seront, dans leur rang, vénérés,
S'ils ne font que se nourrir, sans querelles,
Leurs ouailles avec le pain de la vie.
Les costumes :
Le gros franciscain, comme le frère lai (laïc) sont tous les deux munis d'un chapeau à large bords de couleur crême, sans doute en feutre. Ils portent tous les deux aussi des sandales, qui recouvrent bien le pied chez le gros frère, mais moins, semble-t-il pour le frère lai. De même, alors que ce dernier semble porter sa soutane directement sur le corps, on entrevoit, pour l'autre une chemise blanche qui apparait au niveau du cou.