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Charles IX, soixante et unième roi de France
1550 - 1574

Charles IX, 61ème roi de France - gravure de Daret - Gravure  reproduite puis restaurée par © Norbert Pousseur

La piété m'a augmenté le zèle de la Justice.

 

CHARLES IX ROY DE FRANCE, fils de Henry II et de Catherine de Médicis, succéda à son frère François II, et fut sacré à Reims, par le Cardinal de Guise. Il épousa Elizabeth d'Autriche, fille de l'Empereur Maximilian et eut d'elle une fille unique. Les États généraux étant assemblés à Orléans pour confirmer la Reine Catherine de Médicis Régente. Ensuite fut tenu l'assemblée des notables à St Germain, et le fameux colloque de Poissy où les Cardinaux de Bourbon, de Lorraine, de Châtillon, et d'autres se trouvèrent, avec 12 ministres. Le Roy fait marcher une puissante armée contre les Religionnaires (protestants) qui furent défaits proche Dreux, 1562, et poursuivant la victoire met siège devant Orléans, où le Duc de Guise Lieutenant Général fut tué d'un coup de pistolet. Tout le Royaume troublé de la secte de Calvin, il se fit de grands meurtres entre les parties, et on vit répandre le sang en tous les endroits du Royaume. Le Roy à la tête de 20 mille hommes assiégea Rouen, qu'il emporta enfin avec beaucoup de résistance. La paix fut signée l’an 1563 mais pour peu de temps. Il se donna une sanglante bataille dans les plaines de St Denis entre les deux partis contraires ; le Connétable y fut tué ; cette chaleur fut continuée à la bataille de Jarnac où le Prince de Condé fut tué d'un coup de pistolet 1569. Celle-ci fut suivie d’un autre bien plus étrange, dans les plaines de Montcontour les prétendants réformés y perdirent plus de 6 mille hommes. Sur ces intervalles une seconde paix fut faite, et le Roy donna, pour assurance la Rochelle, Montauban et Nîmes. Ces esprits mal satisfaits et disposés à des nouveaux remuements, le Roy ne le peut souffrir, donna des ordres secrets, pour faire main basse sur eux par tout le Royaume, le jour de St Barthélémy. L’exécution commença par l'Amiral de Coligny qui fut cruellement traité 1572. Toute la Ville et tout le Royaume fut en un moment rempli d’horreur et de carnage. Ensuite de quoi la paix ce fit derechef avec Eux qui ne dura pas plus que les autres. Montgomery se déclara Protecteur des Religionnaires de la Normandie, ce qui irrita si fort le Roy (qu'étant pris à Damfront) qu'il lui fit trancher la tête. Le Roy mourut peu de temps après, l’an 1574 sur les 3 heures du soir le jour de la Pentecôte au château de Vincennes dans la 24ème année de son âge et régna 14 ans Grégoire 12 occupait le Siège, et Rodolphe l’Empire

 

Retranscription du texte de la gravure (Gravure de Pierre Daret ?)

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Article de Wikipedia

 

Ci-dessous, Gravures de Léopold Massard et texte extrait de l'ouvrage
Costumes français depuis Clovis jusqu'à nos jours, publié par A. Mifliez en 1835

Charles IX, roi de France, en costume - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur

Charles IX en son costume de Cour : Le manteau de cette figure, extraite des manuscrits de la Bibliothèque royale, est noir et bordé d’une riche broderie or. Le pourpoint et les trousses, formées de bandes superposées sur une étoffe brun clair, sont blancs avec des jets et passe- ments or. Le pantalon et les babouches, ornés de broderies or, sont blancs. Le chapeau, surmonté d’une plume blanche, le ceinturon et le fourreau de l’épée, dont la garde est or, sont noirs. L’ordre de Saint-Michel, qui accompagne ce costume, est entouré de pierres précieuses et suspendu à un collier formé de même.

 

Charles IX, roi de France, fils de Henri II et de Catherine de Médicis, né à Saint-Germain-en-Laye en 1550, monta sur le trône en 1560, après la mort de François II, et fut sacré à Reims en 1561, n’ayant pas encore onze ans accomplis.

Quoique mineur, la régence ne fut donnée à personne, tant les factions avaient affaibli l’ordre politique du royaume à cette funeste époque ; mais il se trouva par le fait sous la tutelle de sa mère, qui, après s’être assurée que l’autorité ne lui pût être enlevée, feignit de la recevoir du jeune roi avec l’agrément du Parlement, et consentit ensuite à partager l’administration de l’Etat avec Antoine de Bourbon, roi de Navarre, nommé dès lors lieutenant-général du royaume.
Catherine tenta de rétablir le pouvoir royal sans le secours des Bourbons ni des Guises, et, ne reculant devant aucun moyen, elle résolut de détruire les deux partis l’un par l’autre. Bientôt, en effet, la guerre civile fut allumée. La réunion des États généraux, convoqués à Orléans le 31 décembre, n’avait eu d’autre résultat que d’animer les deux factions en les mettant en présence. La conférence ou dispute théologique entre les docteurs des deux religions autorisées en août 1561, sans la participation du pape et connue sous le nom de Colloque de Poissy, eut d’abord le même résultat ; mais bientôt la reine, effrayée de la nouvelle force qu’allait donner au parti catholique la réunion du roi de Navarre à ses principaux chefs, s’empressa de rétablir l’équilibre en favorisant les religionnaires qui, après l’édit de janvier 1562, se crurent assez puissants pour ne plus rien ménager. Enfin une rixe survenue près de Vassy en Champagne, entre les gens du duc de Guise et les Protestants, qui chantaient des cantiques dans une grange, devint, par les circonstances où l’on se trouvait, le signal de la guerre sur presque tous les points de la France.

Cependant, au milieu de ces dissensions intestines, devenues plus terribles par l’alliance des Calvinistes avec les Anglais, Charles IX, déclaré majeur par le Parlement de Rouen, en 1563, conclut l’année suivante la paix avec l’Angleterre, et s’efforça vainement, en parcourant les diverses provinces de son royaume, d’y apaiser les troubles. Il fut même sur le point d’être enlevé par les Huguenots. Cette tentative lui fit une impression d’autant plus profonde qu’il était dans l’âge où l’on ne pouvait plus prétendre à le servir malgré lui ; on s’attaquait à sa personne, on bravait son autorité. Quel roi aurait pu supporter patiemment une pareille injure, et combien la nécessité de la dissimulation devait amasser de haine dans un cœur naturellement fier ! Dès son enfance Charles IX avait annoncé les qualités qui font les grands princes : brave, aimant la gloire, infatigable, d’un esprit vif et pénétrant, heureux en reparties, ayant du goût pour les lettres (i), on ne pouvait lui reprocher qu’un excès de forces qu’il employait à des exercices au-dessous de son rang ; mais pour le condamner, même sur ce point, il faudrait oublier les moyens employés par Catherine de Médicis pour le corrompre et l’empêcher de se mettre à la tête des armées. S’étant aperçu un jour que le vin avait altéré sa raison, il jura de ne plus en boire et tint son serment. Que ne pouvait-on pas attendre d’un prince de vingt ans, capable de prendre un tel parti sur lui-même ! Heureux si la violence de son caractère lui avait donné le courage de se séparer de sa mère ; mais, au milieu des factions, il fut facile à cette femme artificieuse de lui montrer des ennemis partout, de lui faire accroire qu’il ne trouverait de fidélité qu’en elle, et de plier à la dissimulation un cœur auquel la nature avait donné toutes les qualités, et même les défauts les plus opposés à ce vice. S’il avait été le maître de sa conduite, il n’aurait pas caché à Coligny la haine qu’il avait conçue contre lui après la tentative de Meaux, et, se mettant à la tête des Catholiques, il aurait en peu de temps réduit la faction opposée ; mais cela n’entrait point dans les vues de la reine-mère, qui, dans l’espérance de voir périr les chefs des deux partis, et de gouverner ensuite sans contradiction, craignait que son fils ne fût véritablement roi.

Après une série de combats tristement mémorables et dans lesquels on vit figurer avec éclat le duc de Guise le connétable de Montmorency, le prince de Condé, amiral de Coligny, la guerre fut suspendue par une paix avantageuse aux Réformés ; mais les chefs de ceux-ci ne laissèrent pas que de suspecter les intention, postérieures du roi. Enfin la défiance s’apaisa peu a peu, et le mariage du jeune Henri, roi de Navarre, avec la sœur de Charles IX, avait fait disparaître tout ombrage, quand, le 24 août 1572, fut donné le signal de la Saint-Barthélemy. Les massacres horribles dont cette triste journée fut suivie ont souillé a jamais la mémoire de Charles IX, qui mourut (1) déchiré de remords, et en proie à une maladie affreuse, le 31 mai 1574. Quatre fois la guerre civile éclata en France sous le règne (i) de ce prince ; et cependant c’est à cette époque que s’élevait le palais des Tuileries, et que le chancelier de L’Hôpital faisait rendre les plus sages lois et les ordonnances les plus salutaires à l’ordre public.

Charles IX cultiva les lettres. Il aimait avec passion la chasse, et a laissé un ouvrage publié en 1636 sous ce titre ; La Chasse royale composée par Charles IX.

Il est resté quelques vers de lui, parmi lesquels on cite cet impromptu :
François premier prédît ce point,
Que ceux de la maison de Guise
Mettraient ses enfants en pourpoint,
Et son pauvre peuple en chemise.

 

On fit à ce roi de pompeuses funérailles.

« Le onzième juillet 1574, le cortège se rendit en l’Eglise Notre-Dame de Paris, et se placèrent dans le chœur, savoir : les présidents, anciens maîtres des comptes, et Messieurs de la maison de S. M. ayant le chapeau en forme. Après eux plusieurs Archevesques et Evesques, portant chappes noires et mitres blanches et autres ornements de deuil. Suivant eux étoient Messeigneurs les Cardinaux de Lorraine, de Bourbon et d’Est ; les escuyers du deuil portant les gantelets, cottes-d’armes, espérons, escu et l’armet avec le tymbre et la couronne impériale ; le premier escuyer, portant l’espée du feu roi, M. le marquis de Ponthieu portant la banière de France ; le maréchal de Retz ; M. d’Aumalle portant le bâton royal à la main ; puis l’effigie de S. M. qui fut posée dans la chapelle ardente, ornée d’infinies armoiries. Auprès de laquelle effigie estoient MM. de la Cour du Parlement ; les six Présidents d’icelle, portant les bouts du poisle de drap d’or. Puis estoient les Prévosts des marchands, les Eschevins et les Conseillers de la ville de Paris, portant le ciel. Après lesquels suivoient le duc d’Alençon, le roi de Navarre et autres grands princes, ayant chaperon en forme.

Le treizième jour de juillet, le service fut dict en l’église de Saint-Denis, et la nuict, les archers du corps de S. M. le portèrent au tombeau, où estant, un roi d’armes appella haultement les capitaines desdits gardes, pour pourter haultement leurs enseignes, ce qu’ils firent l’un après l’autre, la pointe de devant en bas. Après eux, les escuyers pourtèrent aussi les gantelets, esperons, escu, cotte-d’armes, et l’armet sur lequel estoit le tymbre royal et couronné à l’impérial. Puis le grand escuyer pourta l’espée, M. de... le phanon, M. de Ponthieu la banière, et peu après les Princes pourtèrent l’un après l’aultre, la main de justice, le sceptre royal, et la couronne à l’impérial. Ce faict, le Hérault dict à baulte voix et néanmoins lamentable :
Le roi est mort, le roi est mort, le roi est mort, prions Dieu qu'il en ait l’âme. Et peu après :
Vive le roi, vive le roi, vive le roi Henri III, roi de France et de Pologne, notre Souverain Seigneur, Dieu lui doint très-longue, très-heureuse et très-victorieuse vie. Vive le roi. »

(Procès-verbal des obsèques et pompe funèbre du roi Charles IX.)

 

Lire les lois somptuaires sous Charles XI

 

Charles IX, roi de France, en costume royal - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur

Charles IX en costume royal : Le costume royal en cette figure, est extrait des anciens vitraux des Cordeliers de Paris. Il se compose d’une dalmatique doublée d’hermine, et surmontée d’une épitoge également d’hermine, d’une tunicelle frangée or, et arrêtée sur le côté par une grosse pierre précieuse et d’une robe longue. La dalmatique, semée de fleurs de lis or, est azur ; la tunicelle violet clair, et la robe longue blanche ainsi que la fraise.

 

 

Charles IX est le premier de nos rois qui ait autorisé les secrétaires d’État à signer pour lui dans certaines occasions. Un jour qu’il allait jouer à la paume, le secrétaire d’État Villeroi lui ayant présenté plusieurs dépêches à signer ; « Signez, mon père, lui dit-il, signez pour moi. —- Eh bien, mon maître, reprit Villeroi, puisque vous me le commandez, je signerai. »

Le marc d’or était, sur la fin du règne de ce prince, à 200 livres, et le marc d’argent à 17. L’intérêt de l’argent fut porté sous ce règne à 20 pour 100, du moins c’est à ce taux que se faisaient les emprunts.
Un des amusements de la cour et de la ville, sous le règne de Charles IX, était une espèce de loterie sous le nom de blanque. Elle fut ouverte en 1563 et 1564 dans le cloître de Saint-Germain-L'auxerrois. Le billet du jeune prince de Navarre, depuis notre grand roi Henri IV, fut lu plusieurs fois et remporta plusieurs lots ; il y avait mis pour devise ces mots grecs : H NIKAN H APOOANEIN (vaincre ou mourir). La reine Catherine voulut savoir de lui-même ce que cela signifiait ; mais quoique enfant, il ne le voulut jamais dire. L’ayant su d’ailleurs, elle défendit qu’on lui en soignât de pareilles sentences, plus propres, disait-elle, à le rendre opiniâtre qu’à régler ses mœurs.

Ce fut par une ordonnance (1564) de Charles IX que le commencement de l’année fut fixé au 1er janvier. Auparavant, l’année commençait la veille de Pâques, après vêpres. Ce changement ne fut consenti par le Parlement que vers 1567, et comme la réformation du calendrier grégorien, qui retranchait dix jours du 15 au 15 décembre, ne fut reçue qu’en 1581i, ce ne fut qu’en 1583 que l’ordre des jours de l’année fut réglé, à compter du Ier janvier.

Il se forma, sous le règne de Charles IX, une société de gens de lettres qui s’assemblaient à Saint-Victor. Il paraît que Ronsard en était le président. Charles y alla plusieurs fois, et on dit que, par la considération qu’il avait pour les savants, il leur permettait de s’asseoir en sa présence ; on ajoute même que tout le monde était couvert, si ce n’est en parlant directement au roi. Ce fut ce qui régla le cérémonial de l’Académie française, lorsque Christine, reine de Suède, alla visiter cette compagnie. On n’attendit point pour s’asseoir qu’elle l’ordonnât. Toute la différence qu’on observa, fut que les académiciens s’éloignèrent davantage de la table autour de laquelle on était, que ne fît la reine de Suède.

 

 

 

Charles IX, gravure et eau-forte de Jacques Harrewyn - Gravure  reproduite puis restaurée par © Norbert Pousseur

Devise latine
Pietate et Justitia
qui pourrait se traduire par
Piété et Justice
Gravure et article extrait de Mémoires pour servir à l'histoire de France

.../... année 1574

Le Roy Charles  mourut le Dimanche sur les deux heures après midi, ayant fait appeler Mazille son premier médecin, et se plaignant des grandes douleurs qu’il souffrait lui demanda, s’il était pas possible que lui, et tant d’autres grands médecins qu’il y avait en son Royaume lui pussent donner quelque allégement en son mal, car je suis, dit-il, horriblement et cruellement tourmenté, à quoi Mazille répondit, que tout ce qui dépendait de leur art ils l’avoient fait, et que même le jour de devant, tous ceux de leur Faculté s’étaient assemblés pour y donner remède, mais que pour en parler à la vérité Dieu était le grand  et souverain médecin en telles maladies, auquel il fallait recourir. Je crois dit le Roy que ce que vous dites est vrai, et n'y savez autre chose, tirez, moi ma custode (rideau du lit) que j'essaye à reposer, et à l’instant Mazille étant sorti, et ayant fait sortir tous ceux qui étaient dans la chambre hormis trois, savoir la Tour, St. Pris et sa Nourrice que Sa Majesté aimait beaucoup encore qu’elle fut Huguenote.
Comme elle se fut mit sur un coffre et commençait à sommeiller ayant entendu le Roy se plaindre, pleurer, et soupirer, s’approche tout doucement du lit, et tirant sa custode, le Roy commença à lui dire jetant un grand soupir et larmoyant si fort, que les sanglots lui interrompaient la parole, ah ma nourrice, mamie, ma nourrice que de sang, et que de meurtres, ah que j'ai suivi un méchant conseil, ô mon Dieu pardonne les moi et me fais miséricorde s'il te plait, je ne sais où. j'en suis tant ils me rendent perplexe et agité, que deviendra tout ceci  ? que ferai-je ? je suis perdu,  je le vois bien.
Alors la Nourrice lui dit, Sire les meurtres soient sur ceux qui vous les ont fait faire, mais de vous Sire, vous n’en pouvez mais, et puisque vous n’y prêtez pas consentement, et en avez regret, croyez que Dieu ne vous les imputera jamais, et les couvrira du manteau de la justice de son Fils, auquel seul faut qu’ayez vôtre recours ; mais pour l’honneur de Dieu que Votre Majesté cesse de larmoyer et sur cela lui ayant été quérir un mouchoir pour ce que le sien était tout mouillé de larmes, après que Sa Majesté fût pris de sa main, lui fit signe qu’elle s'en allât et le laissa reposer.

Le Dimanche 30  Mai jour de Pentecôte sur les 3  heures après midi Charles IX. Roy de France atténué d’une violente et longue maladie de flux de sang, à raison de laquelle on avait prévu son décès plus de trois mois auparavant, mourut au Châtel de Vincennes âgé de 23 ans, onze mois et  4  ou 5  jours après avoir régné onze ans, six mois ou environ, en guerres et urgentes affaires continuelles, et laissa une seule fille d'Isabelle d'Autriche son Épouse nommée Marie Isabelle de France âgée de 19 mois ou environ, et le Royaume de France troublé de divisions et guerres civiles sous prétexte de Religion et du bien public quasi par toutes les Provinces d'icelui, il eut un fils de Marie Touchet nommé Duc d'Angoulême.
Ce Roy aimait trop la chasse.

Charles VIII, roi de France - Gravure  de Nicolas Clerck reproduite puis restaurée par © Norbert Pousseur

Charles IX, roi de France

Mort le 30 may 1574

Gravure provenant d'un recueil de 88 gravures
de Nicolas de Clerck (actif entre 1614 et 1625)

(collection personnelle)

 

 

 

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