Gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Occupations rurales
Le temps à Madère est généralement si beau, que les paysans sont rarement vus dans leur maison, lorsque leurs occupations leur permettent d'être en plein air.
La jeune femme, telle que représentée dans la gravure, pratique la filature à la quenouille, qui est généralement utilisée dans les pays chauds, car elle n'est pas confinée, comme le rouet, à une situation sédentaire, mais peut être exercée debout ou en marchant. Ainsi, elle est fréquemment utilisée par la bergère pendant qu'elle s'occupe de son troupeau, et n'est pas un objet rare dans les paysages des peintres italiens. La vieille femme semble enrouler le fil de la bobine en boules.
Le bananier, s'élevant derrière elle, pousse à Madère en grande abondance ; et la dinde, une figure qui semble animer l'image, a une certaine importance, cette volaille étant censée avoir un statut plus élevé dans cette île que dans toute autre partie du monde, en tant qu’aliment luxueux de table, tandis que la saveur de sa chair est proportionnelle à la taille qu'elle acquiert.
La vieille femme doit être considérée comme ayant atteint un âge très avancé, représentée avec des lunettes, car les indigènes conservent généralement le bénéfice de la vue jusqu'à la dernière période de la vie ; ce qui est d'autant plus extraordinaire qu'ils sont constamment exposés aux rayons éblouissants d'un soleil brûlant. Ils atteignent également généralement le terme de soixante-dix ou quatre-vingts ans, sans infirmités notables ; et il existe des exemples occasionnels d'un degré de longévité encore plus élevé.
Le travail est le lot général ;
Mais c'est l'habitant du berceau :
C'est à lui que le paysan laborieux doit
Tout ce que la vie lui offre,
C'est grâce à lui qu'il gagne son pain quotidien ;
C'est grâce à lui que sa progéniture grandissante est nourrie ;
Et pendant qu'il cultive le champ têtu,
Ou que la faucille tordue rapporte ;
La fille et l'épouse occupées
Poursuivent, à la maison, les soucis de la vie :
Elles filent le fil et font tourner la bobine,
Ou préparent le repas attendu.
Bienvenue au travail, couronné de sourires ;
Bienvenue aux soins, que le labeur séduit !
Quel que soit votre sort, si tel est votre état,
O ! n'enviez pas les riches ou les grands !
Si les nuages déforment le jour d'été,
Laissez la patience vous guider sur votre chemin ;
Et, reconnaissant pour les bénédictions envoyées,
Cherche la paix dans la vie, et meurs content.
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Les costumes : La jeune fille porte un corser lacé.
La vieille dame porte la jupe rayée traditionnelle, à traits bleu et rouge.
Le port du cruxifix en collier, montre bien la tradition catholique ancrée dans toutes les populations européennes de l'époque.