gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Paysannes broyant du maïs
Le travail représenté ici est attaché à la mouture du maïs indien, qui, bien que n'étant pas un produit indigène, est le principal article de subsistance parmi les classes laborieuses. L'une des paysannes broie le maïs à la meule de pierre, que la gravure représente pleinement, tandis que l'autre femme est employée à le tamiser.
Lorsque les paysans vont dans les montagnes pour couper du bois, ils emportent une quantité suffisante de cette nourriture, cuite et froide, qui fournit les repas nécessaires.
C'est une race de gens très sobre et connue pour jouir d'un excellent état de santé: en effet, ils meurent généralement de ce qu'on peut appeler de vieillesse, malgré la sévérité de cette vie laborieuse à laquelle ils sont soumis. Leurs femmes âgées, telles qu'elles sont ici représentées, continuent à filer la laine, à l'aide de lunettes, même si elles n'en veulent pas toujours, jusqu’à la fin de leur vie, dont l’illustration donne un exemple pittoresque.
Les femmes broyant le maïs en plein air est une espèce de travail bien connue dans les âges reculés de l'Antiquité. En Inde, où l’ethnographe recherche les mœurs et coutumes les plus anciennes, ce travail prévaut encore; et l'Écriture elle-même la mentionne comme familière à l'âge évangélique.
Entre autres signes de la fin du monde, il est mentionné dans St. Matthieu, ch. XXIV., V. 40, 41, " Alors deux seront au champ, l'un sera pris et l'autre laissé. Deux femmes moudront au moulin, l'une sera prise et l'autre laissée "
Si l'on suit d'un œil attentif
Le progrès de la race humaine,
Nous trouvons que le premier état social de l'homme,
avant qu'il ne pense à devenir grand,
C'est par le travail et le labeur que l'homme a commencé à vivre en société,
Chasser les bois, cultiver le sol ;
Et toute la structure humaine soutenue
était le fruit de son labeur quotidien ;
Les femmes aussi étaient connues pour partager
Les difficultés de la vie domestique.
Les filles du patriarche, racontent les Écritures,
abreuvaient le bétail au puits,
Et moulaient le maïs, comme nous le voyons aujourd'hui
Les paysannes de Madère.
Ainsi, tandis qu'avec un œil curieux nous observons,
cette scène de l'industrie ancienne,
Nous bénissons les moyens par lesquels le pouvoir
De pousser l'heure laborieuse,
Est donné à chaque dame âgée
Par les arts de l'époque, à revendiquer ;
Car c'est à eux que la vieillesse doit
Le pouvoir de voir plus loin que son nez.
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Les costumes :
Les deux jeunes paysannes porte la classique robe à corset lacé, de teinte marron-clair, alors que la vieille dame a la tête enveloppée d’un foulard, et se tient chaud avec une petite veste bleue, et signe de distinction, sa robe est à rayures.