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Activités féminines rurales

Anciens costumes traditionnels de Madère

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Activités rurales féminines à Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Madère -- ~1820 - Activités rurales

 

gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes est de l'auteur du site

 

Paysannes broyant du maïs


Le travail représenté ici est attaché à la mouture du maïs indien, qui, bien que n'étant pas un produit indigène, est le principal article de subsistance parmi les classes laborieuses. L'une des paysannes broie le maïs à la meule de  pierre, que la gravure représente pleinement, tandis que l'autre femme est employée à le tamiser.
Lorsque les paysans vont dans les montagnes pour couper du bois, ils emportent une quantité suffisante de cette nourriture, cuite et froide, qui fournit les repas nécessaires.
C'est une race de gens très sobre et connue pour jouir d'un excellent état de santé: en effet, ils meurent généralement de ce qu'on peut appeler de vieillesse, malgré la sévérité de cette vie laborieuse à laquelle ils sont soumis. Leurs femmes âgées, telles qu'elles sont ici représentées, continuent à filer la laine, à l'aide de lunettes, même si elles n'en veulent pas toujours, jusqu’à la fin  de leur vie, dont l’illustration donne un exemple pittoresque.

Les femmes broyant le maïs en plein air est une espèce de travail bien connue dans les âges reculés de l'Antiquité. En Inde, où l’ethnographe recherche les mœurs et coutumes les plus anciennes, ce travail prévaut encore; et l'Écriture elle-même la mentionne comme familière à l'âge évangélique.
Entre autres signes de la fin du monde, il est mentionné dans St. Matthieu, ch. XXIV., V. 40, 41, " Alors  deux seront au champ, l'un sera pris et l'autre laissé. Deux femmes moudront au moulin, l'une sera prise et l'autre laissée "

Si l'on suit d'un œil attentif
Le progrès de la race humaine,
Nous trouvons que le premier état social de l'homme,
avant qu'il ne pense à devenir grand,
C'est par le travail et le labeur que l'homme a commencé à vivre en société,
Chasser les bois, cultiver le sol ;
Et toute la structure humaine soutenue
était le fruit de son labeur quotidien ;
Les femmes aussi étaient connues pour partager
Les difficultés de la vie domestique.
Les filles du patriarche, racontent les Écritures,
abreuvaient le bétail au puits,
Et moulaient le maïs, comme nous le voyons aujourd'hui
Les paysannes de Madère.
Ainsi, tandis qu'avec un œil curieux nous observons,
cette scène de l'industrie ancienne,
Nous bénissons les moyens par lesquels le pouvoir
De pousser l'heure laborieuse,
Est donné à chaque dame âgée
Par les arts de l'époque, à revendiquer ;
Car c'est à eux que la vieillesse doit
Le pouvoir de voir plus loin que son nez.

Translated with DeepL


Les costumes :
Les deux jeunes paysannes porte la classique robe à corset lacé, de teinte marron-clair, alors que la vieille dame a la tête enveloppée d’un foulard, et se tient chaud avec une petite veste bleue, et signe de distinction, sa robe est à rayures.


Précédent :
Fermier et sa fille allant en ville
Les costumes traditionnels Suite :Jeune couple de campagnards avec guitare

Vignette : Madère, le port - Gravure  de 1820 reproduite puis restaurée par © Norbert Pousseur
Introduction
du livre
Vignette : Travaux ruraux à Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Travaux ruraux
Vignette : Paysans allant au marché à Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Vers le marché
Vignette : Manière de ciltiver le sol à Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Cultivateurs
au travail
Vignette : Fermier et sa fille allant en ville à Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Fermiers
en route
  Vignette : Couple de paysans avec guitare à Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Jeune couple
Vignette : Couple d'habitnts de l'Ouest de l'île de Madère vers 1820  - gravure reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Couple de l'Ouest
Vignette : A Madère, pêcheur à la ligne, et son compagnon  - gravure de 1821  reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Pêcheurs
Vignette : A Madère, musiciens itinérants  - gravure de 1821  reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Musiciens itinérants
Vignette : A Madère, transport du vin clair en ville - gravure de 1821  reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Le vin clairet

Vignette : A Madère, transport du vin avec un attelage de bœufs  - gravure de 1821  reproduite et restaurée par © Norbert Pousseur
Transport du vin
Vignette : A Madère, un outre de vin qui profite au transporteur  - gravure de 1821  reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseu
Vin accidenté
Vignette : A Madère, un gros franciscain et son frère lai  - gravure de 1821  reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
2 franciscains
Vignette : A Madère, un gros franciscain récoltant des dons, tendrementi  - gravure de 1821  reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Récolte de dons

Cette gravure de personnages de Madère peut être agrandie par zoom,
l'original mesurant 17x22 cm

 

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